Mon Royaume enchanteur

 Belle histoire trouvée sur Facebook

Il était une fois, dans la vallée crépuscule du Ballacoan, où les murmures ventent à travers la noisette et le sapin, il y avait un hibou. Ce n'était pas un hibou ordinaire, car il lisait souvent un livre qu'il gardait niché dans l'escroc de Old Oak. Son nom était Hibou, l'érudit du ruisseau, et chaque créature de la vallée le vénérait pour sa sagesse et ses histoires.

En ce soir particulier, alors que la dernière lumière du soleil dansait timidement sur les eaux de Nikkesen, Hibou lisait à haute voix, sa voix profonde et apaisante, transportant à travers les feuilles et le doux babouillage du ruisseau.

"Chers amis, commença-t-il en ajustant son manteau avec une aile gracieuse, rassemblez-vous autour de vous et je vais vous raconter une histoire de cette vallée, d'une époque où la magie murmurait encore plus fort que maintenant". 

Le hibou a parlé, sa voix riche du timbre de bois vieilli et des feuilles bruisantes, "Le conte de ce soir est plongé dans la brume de la mémoire et les ombres de Nikkesen, cette piscine profonde, sombre et sans fond". 

"Il y a beaucoup, beaucoup de tournants des saisons, avant que ces vieux yeux ne voient moins et que ces vieilles ailes volent plus lentement, il y avait une fille nommée Aalin. Elle était aussi belle que la rosée du matin brillante sur les toiles d'araignée et aussi vive que le vent qui danse à travers les sapins".

"Un jour, la pauvre Aalin s'est promenée près des redoutables Nikkesen à la recherche de ses mollets perdus. Kebeg ! Kebeg ! ' a-t-elle appelé, sa voix résonnait à travers la vallée comme un trille d'oiseau chanteur. Et en effet, sa voix était douce, mais pas aussi douce que l'appel de la brume : 'Kebeg' est là ! Kebeg est là !"

Le hibou s'est arrêté, son regard perdu dans les ombres clignotantes, le bruissement des feuilles sonnant comme le murmure lointain de l'eau ou peut-être le murmure de petites voix de fées.

"Mais, mes amis", continua Hibou, sa voix maintenant une note sombre au milieu des gazouilles de la nuit, ce doux appel n'était pas ses mollets qui répondaient. "C'était les Fées de Nikkesen, intelligentes et rusées, appelant Aalin à un destin hors de portée de Ken mortel". 

Il soupirait un bruit doux et plumeux qui semblait porter le poids de tous les contes non-dits. "Aalin a crié : 'J'arrive' ! J'arrive ! ' Et juste comme ça, dans l'étreinte d'une brume rampante, elle entra dans le royaume des Fées, pour ne plus jamais être revue dans notre monde". 

Hibou a fermé le livre doucement. "Alors, mes chers miens, que ce conte nous rappelle les mystères qui habitent dans des endroits invisibles et les voix qui nous appellent à des aventures inconnues. Méfiez-vous des appels doux des profondeurs de Nikkesen car ils ne mèneront peut-être pas chez eux". 

Avec un signe de tête sage, Hibou a caché le livre sous son aile, ses yeux reflétant la lumière des étoiles. "Souvenez-vous, chaque murmure du vent, chaque murmure du ruisseau, porte une histoire. Écoutez bien, mais soyez judicieusement". 

Alors que les étoiles rouaient silencieusement au-dessus de la tête, les mots de Hibou persistaient dans l'air frais de la nuit. Les auditeurs, invisibles mais ressenties au cœur de la vallée, émus par la magie de son conte, changé à jamais par la sagesse d'un hibou et le mystère durable de la piscine profonde, sombre et sans fond de Nikkesen.